La vente de votre maison s’était bien déroulée. L’acheteur avait fait réaliser une inspection préachat. De votre côté, vous aviez pris soin de « tout dire » sur l’état de votre propriété en signant la déclaration du vendeur.
La transaction avait été finalisée devant le notaire. Vous aviez serré la main du vendeur, payé la commission de 5 % au courtier. Vous aviez même versé une petite larme en donnant les clés de votre « belle propriété » à l’heureux acheteur.
C’était vers la mi-juin 1995. La vente de votre vieille maison n’était plus qu’un lointain souvenir. Jusqu’à ce qu’on vous envoie une mise en demeure…